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19/10/2015

Tout travail mérite salaire !

Votre DM vous demande de venir plus tôt, de rester après la fermeture ,

 

Il doit compter ce temps de travail et vous le payer voir vous le faire récupérer

 

Lisez la note ci jointe qui vous en dira plus... 6 tout travail mérite salaire.pdf

 

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21/09/2015

Problèmes au boulot ? Contacte FO

 

Vos élus FO sont là pour vous représenter. En savoir plus ici 8 se faire assister v3.pdf

 

 

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30/07/2015

Inventaires : à la recherche de boucs émissaires ?

 

Vous estimez qu'on veut vous faire porter le chapeau...

 

Lisez ceci : 5 résultats inventaires 2014.pdf

 

 

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Tout savoir sur ses droits liés à l'annualisation

Ai-je le droit de me faire payer mes heures ?

Ou alors quoi en faire ?

 

Lisez la note ci jointe...n 1 mai 2014 annualisation v4.pdf

 

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05/07/2015

Pourquoi FO n'a pas signé l'ANI Qualité de vie au travail ?

01/05/2015

Pourquoi se souvenir du 1° mai ?

Il faut se rappeler que rien n'est écrit, et que l'on peut changer les choses, et notamment se battre pour plus de Justice Sociale !

Tant qu'un homme pourra mourir de faim à la porte d'un palais où tout regorge, il n'y aura rien de stable dans les institutions humaines.

- Eugène Varlin

 

« [Le Prolétaire] naît dans la misère, formé d’un sang appauvri, quelquefois souffrant de faim, mal vêtu, mal logé, séparé de sa mère qui doit le quitter pour aller au travail, croupissant dans la malpropreté, exposé à mille accidents, prenant souvent le germe des maladies qui le suivront jusqu’au tombeau.

Dès qu’il a la moindre force, à huit ans, par exemple, il doit aller au travail dans une atmosphère malsaine, où, exténué de mauvais traitements et de mauvais exemples, il sera condamné à l’ignorance et poussé à tous les vices. Il atteint l’âge de son adolescence sans que son sort change. À vingt ans, il est forcé de laisser ses parents, qui auraient besoin de lui, pour aller s’abrutir dans les casernes ou mourir sur les champs de bataille, sans savoir pourquoi. S’il revient, il pourra se marier, n’en déplaise au philanthrope anglais Malthus et au ministre français Duchatel qui prétendent que les ouvriers n’ont pas besoin de se marier et d’avoir une famille et que rien ne les oblige à rester sur terre quand ils ne peuvent pas trouver le moyen de vivre.

Il se marie donc ; la misère entre sous son toit avec la cherté et le chômage, les maladies et les enfants. Alors si, à l’aspect de sa famille qui souffre, il réclame une plus juste rémunération de son travail, on l’enchaîne par la faim comme à Preston ; on le fusille comme à la Fosse-d’Épine ; on l’emprisonne comme à Bologne ; on le livre à l’état de siège comme en Catalogne ; on le traite devant les tribunaux comme à Paris [...]

Ce malheureux gravit son calvaire de douleurs et d’affronts, son âge mûr est sans souvenirs ; il voit la vieillesse avec effroi ; s’il est sans famille ou si sa famille est sans ressources, il ira, traité comme un malfaiteur, s’éteindre dans un dépôt de mendicité.

Et pourtant cet homme a produit quatre fois plus qu’il n’a consommé, Alors que celui qui est né dans un riche berceau et n'a rien produit, jouit des privations de 99  de ses frères. »

(Eugène Varlin face à ses juges, mai 1868)

 

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12:49 Publié dans 0 - Se souvenir | Lien permanent

25/02/2015

Travailler Mieux - De quoi parle-t-on ? - Les RPS : c'est quoi ?

C’est quoi les RPS ?

Les risques psychosociaux (RPS) ne sont définis, ni juridiquement, ni statistiquement, aujourd’hui, en France. Ils sont à l’interface de l’individu et de sa situation de travail d’où le terme de risque psychosocial. Sous l’entité RPS, on entend stress mais aussi violences internes (harcèlement moral, harcèlement sexuel) et violences externes (exercées par des personnes extérieures à l’entreprise à l’encontre des salariés).

Les accords conclus à l’unanimité par les partenaires sociaux en matière de stress (juillet 2008) et de harcèlement et violence au travail (mars 2010), permettent de s’appuyer sur des définitions relativement consensuelles, qui reconnaissent le caractère plurifactoriel des RPS, admettent l’existence de facteurs individuels mais aussi organisationnels.

Il convient de souligner aussi le caractère subjectif de ce risque qui relève de la perception propre à chaque individu, ce qui n’empêche ni de l’évaluer, ni de le mesurer (à l’instar de la douleur en milieu hospitalier), afin d’en apprécier l’évolution dans le temps.

Dans l’idéal, il conviendrait de parler de « risques psychosociaux au travail », afin de bien circonscrire le champ des responsabilités de l’employeur. Ce dernier est tenu d’agir sur « ce sur quoi il a prise » et donc sur les déterminants des risques psychosociaux dans son entreprise, sans violer l’intégrité psychique des intéressés.

Si tout le monde s’accorde à souligner la plurifactoralité des RPS qui caractérisent à la fois l’organisation du travail et les relations interindividuelles, il est important de rappeler que les facteurs à l’origine des RPS sont connus et mis en évidence par une littérature scientifique foisonnante.

Ils peuvent être regroupés en 4 grandes familles de facteurs :
- Les exigences du travail et son organisation : Autonomie dans le travail, degré d’exigence au travail en matière de qualité et de délais, vigilance et concentration requises, injonctions contradictoires ;
- Le management et les relations de travail : nature et qualité des relations avec les collègues, les supérieurs, reconnaissance, rémunération, justice organisationnelle ;
- La prise en compte des valeurs et attentes des salariés : développement des compétences, équilibre entre vie professionnelle et vie privée, conflits d’éthique ;
- Les changements du travail : conception des changements de tout ordre, nouvelles technologies, insécurité de l’emploi, restructurations …

Le stress n’est qu’une manifestation des RPS. Parmi ces derniers, il est à la fois le concept le mieux défini et le terme générique le plus employé, parfois vulgarisé au détriment de son sens. Dans le langage courant, le stress professionnel est envisagé, selon les cas, comme un facteur de risque ou un effet néfaste sur la santé.

On distingue les situations de stress aigu (quand une personne doit faire face à un événement ponctuel) et des situations de stress chronique, lorsque cette situation est durable, entraînant des effets délétères sur la santé des salariés et des dysfonctionnements dans l’entreprise.

De manière plus factuelle, le stress au travail a fait l’objet de plusieurs modélisations (les modèles de Karasek et de Siegrist sont les plus connus) qui ont contribué à déterminer précisément les dimensions permettant de le mesurer. Le stress est basé sur l’idée d’une combinaison d’éléments non compatibles entre eux, paradoxe qui serait à l’origine d’une situation de tension.

Selon l’Agence européenne pour la santé et la sécurité au travail de Bilbao, « un état de stress survient lorsqu’il y a déséquilibre entre la perception qu’une personne a des contraintes que lui impose son environnement et la perception qu’elle a de ses propres ressources pour y faire face. Bien que le processus d’évaluation des contraintes et des ressources soit d’ordre psychologique, les effets du stress ne sont pas, eux, uniquement de même nature. Ils affectent également la santé physique, le bien-être et la productivité ».

Les partenaires sociaux au niveau européen ont défini le stress au travail dans l’accord cadre du 8 octobre 2004 ; les organisations syndicales de salariés et d’employeurs français ont transposé cet accord européen en signant, le 2 juillet 2008, un accord national interprofessionnel.

Quelles sont les conséquences de l’existence de risques psychosociaux dans l’entreprise ?

- Un impact sur la santé

Les RPS ont des effets délétères sur la santé des travailleurs. Plusieurs mécanismes étiologiques (effets des stresseurs de type psychosocial, augmentation de la tension artérielle, comportements à risque…) expliquent l’association entre facteurs de RPS et différents indicateurs de santé à la fois physique et mentale. Au regard d’une littérature ayant souligné les liens existant entre facteurs de RPS et maladies cardio-vasculaires, Troubles Musculo-Squelettiques ou pathologies mentales (dépression, anxiété), les RPS se révèlent être un enjeu majeur en termes de santé publique.

- Un impact sur l’entreprise

Les RPS ont également un impact sur l’entreprise. On peut noter un lien entre l’apparition de ces risques et l’absentéisme, le taux élevé de rotation du personnel, le non-respect des horaires ou des exigences de qualité, des problèmes de discipline, la réduction de la productivité, des accidents de travail et des incidents, la non-qualité (augmentation des rebuts et des malfaçons, etc.), une dégradation du climat social, des atteintes à l’image de l’entreprise…

 

http://www.travailler-mieux.gouv.fr/Les-RPS-c-est-quoi.html

19:33 Publié dans 3 - Le coin juridique | Lien permanent

13/12/2014

Noël célèbre le retour de la lumière et de l'espoir

 

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Noël ? Fête commerciale uniquement ?

 

Les lutins du père Noël savent-ils encore ce qu'ils fêtent ?

 

En ce 13 décembre, sainte Lucie, commence le cycle de 12 jours qui nous conduira à Noël.

 

Le mot "Noël" vient du germanique Neue Helle qui signifie "Nouvelle Lumière", "Nouvelle clarté".

 

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Célébration du Rythme des Saisons :

 

Les recherches historiques et archéologiques permettent de mettre en évidence que les Celtes célébraient quatres fêtes liées au cycle des saisons et aux rythmes agraires. Noël est l’époque de la nuit la plus longue et du jour le plus court de l’année. Après ce jour le temps d’ensoleillement augmente jour après jour.

Les anciens craignaient que le soleil ne revienne plus et que l'univers reste plongé dans l'obscurité, ce qui aurait nuit à leurs cultures et donc à leur survie.

 

Le Retour de la Lumière :

La lumière dont on attend avec impatience le retour, est symbolisée par toutes les choses qui brillent et qu'on accroche au sapin (boules, guirlandes, bougies, étoile).

Pour symboliser ce retour de la lumière, on allume des feux ou des chandelles.

 

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La bûche :

 

La bûche de Yule (Solstice) est de chêne, et dans les temps anciens, elle était conservée tout au long de l'année dans un endroit sacré car elle représente le feu sacré, la lumière de la Terre. C’est aussi la Mémoire du Feu Originel.

La bûche traditionnelle devait bruler pendant 12 heures. Le fait de l'allumer au tout début du réveillon était censé, par sympathie, inciter le soleil à revenir plus vite. Maintenant que bien des maisons n'ont plus de foyer pour brûler la bûche, celle-ci prend place sur la table, en gâteau roulé. Dans certaines régions, et dans le même but, on allume encore de grands feux sur les hauteurs ou sur la place des villages.

 

 Le Sapin :

 

Plus tard, la buche fut remplacée par l'arbre, et plutôt que de le brûler, des bougies allumées y étaient placées. La Neige rappelle la rudeur des climats qui vient s’ajouter à l’affaiblissement du Soleil.

 

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Les végétaux à feuillages persistants :

 

Ils symbolisent le triomphe de la nature sur l'hiver (sapin, houx, lierre, gui). Ils sont les seuls à survivre, et à ne pas perdre leurs feuillages. En cela ils doivent être imités par les Hommes pour Survivre (pas seulement en Hiver mais aussi dans les situations difficiles…)

 

Le gui :  

 

Les houx, lierre et gui étaient des plantes très importantes pour cette occasion car elles représentent la fertilité et la vie éternelle. Le gui était vénéré par les druides celtes, qui le coupaient avec une faucille en or à la sixième nuit de la lune.

C'est à cette époque que le gui fleurit alors que les dernières feuilles tombent et que toute la nature prend l'apparence de la mort. Il exprime la survie de l’âme, la continuité de la vie après la mort apparente de la nature qui suit la chute des feuilles.

 

La Fête Chrétienne :

 

Les Chrétiens ont mis beaucoup de temps pour s'accaparer cette vieille fête païenne.

Cette célébration de la naissance du Christ a connu des débuts assez chancelants, car pendant près de trois siècles, personne ne savait ou Jésus était né. Mais la date du 25 décembre finit par entrer dans les coutumes. La tradition était établie que Marie avait donné naissance le 25 du mois, mais personne ne s'accordait pour savoir de quel mois il s'agissait.

Finalement, en 320 de notre ère,  le pape Télesophe de Rome décida de placer la fête en décembre, dans un effort pour éradiquer la célébration Mitraïque des Romains et la célébration de Yule des Celtes et Saxons.

 

D’autres définitions :

Natalis (en latin) : jour anniversaire de la naissance. Le jour natal du Soleil Invaincu, (car la nuit raccourcît, et le Jour gagne sur la Nuit), qui devient Noel en Français. Repris plus tard pour annoncer la Naissance de Jésus. Natale en Italien.

Noël (en français) : le mot Noël vient de deux mots gaulois "noio" (nouveau) et "hel" (soleil) qui désignent le solstice d'hivers. C'est la roue de l'année qui tourne une fois de plus vers le printemps.

Christmas (en anglais) : Littéralement la Messe du Christ

 

Enfin, et pour préparer la nouvelle année …

 

Année : Le mot année a la même racine étymologique que Anneau : il suggère le retour cyclique des saisons et des mois. L’année est symbolisée par le cercle et par le cycle. Le Dieu qui symbolise le mois de Janvier est Janus, le Dieu aux deux visages, car il est tourné vers la nouvelle année, mais il termine aussi l’ancienne.

 

Un des principaux symboles de ce recommencement est la Couronne.

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Bonnes Fêtes à Toutes et à Tous,  

 

Roberto

 

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Oui au repos le Dimanche

 

http://fecfocommerce.e.f.f.unblog.fr/files/2014/05/revue-fo-pour-le-dimanche-version-mai-2014.pdf

 

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Repos dominical - FEC FO

10/09/2014

Le temps des cerises

Autres temps, autres lieux, autres souffrances, autres combats...

Tant qu'un homme pourra mourir de faim à la porte d'un palais où tout regorge, il n'y aura rien de stable dans les institutions humaines.

- Eugène Varlin


 

Le Temps des cerises est une chanson dont les paroles furent écrites en 1866 par Jean Baptiste Clément. Cette chanson est fortement associée à la Commune de Paris de 1871, l'auteur étant lui-même un communard ayant combattu pendant la Semaine sanglante